Consultation pour le poste de VRER
Avertissement : Les questions soumises par les professeures et professeurs n’engagent pas la responsabilité du SPUQO qui n’approuve pas explicitement ou implicitement les propos qu’elles contiennent.
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Réponses des candidats
M. DENIS HARRISSON Le candidat Denis Harrisson a choisi de fournir une réponse globale à l’ensemble des questions posées en date du 17 mai 2013. La réponse de M. Harrisson a été reçue le 17 mai, à 11 H 45. M. Harrisson nous a remis, le 24 mai 2013, 16 h 22, son texte de présentation pour les rencontres avec les professeurs de l’UQO des 22 et 24 mai 2013. |
M. BENOÎT PELLETIER Le candidat Benoît Pelletier a choisi de fournir une réponse globale à l’ensemble des questions posées en date du 17 mai 2013. La réponse de M. Pelletier a été reçue le 23 mai, à 21 H 20. M. Pelletier nous a remis, le 26 mai 2013, 22 h 26, un texte en conclusion à la présentation offerte aux professeurs de l’UQO les 22 et 24 mai 2013. |
Questions reçues en date du 17 mai 2013
QUESTION #8 :
Merci beaucoup pour cette initiative! Pendant la crise étudiante du printemps 2012, nous avons pu observer une « proximité » sans précédent entre les « chefs d’établissement » (c’est la façon dont les recteurs se présentent maintenant) et le pouvoir politique. Voici mes questions :
Mme Francine Sinclair, Département des sciences de l’éducation |
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Réponse de M. Denis Harrisson : Voir réponse au haut de la page. |
Réponse de M. Benoît Pelletier : Voir réponse au haut de la page. |
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QUESTION #7 :
Envisagez-vous d’effectuer un audit externe, indépendant et fiable pour connaître les causes profondes du déficit budgétaire ou l’accepterez-vous comme une fatalité ou un sort résultant d’un acte de Dieu? M. Saïd Boukendour, Département des sciences administratives |
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QUESTION #6 :
Je me permets d’adresser aux candidats la plus simple des questions qui, sans doute, exigera la plus complexe des réponses : À moyen et à long terme, êtes-vous en faveur d’une hausse des frais de scolarité, de leur gel ou de la gratuité scolaire du berceau au tombeau ? M. David Lefrançois, Département des sciences de l’éducation |
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QUESTION #5 :
Étant donné les faits suivants: 1) L’UQO a été classée en 2012 à la 47ème et *dernière place* dans un classement bien publicisé des universités de recherche au Canada, notamment après l’UQAR (21ème), l’UQAC (24ème), UQAM (28ème), UQAT (35ème), avec seulement 4,1 points sur 100. Voir : www.researchinfosource.com/media/2012RUYAllUniversities.pdf 2) L’UQO pourrait perdre une des cinq chaires de recherche du Canada qui lui avaient été allouées, en considération d’une baisse des subventions fédérales de recherche. 3) Ces faits auront comme conséquence une perte de clientèle pour nos programmes de cycles supérieurs et une perte de fonds liés à la recherche, ainsi que malheureusement une perte de réputation globale. Quelle est votre opinion concernant cet aspect de nos activités, et prévoyez-vous un plan pour améliorer le profil de recherche de l’UQO? Merci d’avoir proposé votre candidature et merci de vos réponses! M. Luigi Logrippo, Département d’informatique et ingénierie |
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QUESTION #4 :
Bravo pour cette belle initiative !! 5 questions : 1 – Depuis plusieurs années UQO prélève 2.2 M$ du fonds de fonctionnement pour la recherche et l’enseignement afin de financer ses projets d’agrandissements immobiliers. Avez-vous l’intention de redonner aux étudiants et professeurs les moyens de remplir leur mission, de remettre l’argent au niveau des départements et des professeurs, de sorte que l’on n’ait plus à se limiter ou payer de nos poches pour financer notre travail ? 2 – Le processus de titularisation actuelle est composé de seulement 2 professeurs. Les deux cadres de UQO, dont le VRER, choisissent un externe. De sorte qu’il n’y a même pas parité. Les 2 professeurs siégeant (en minorité donc) ne sont pas experts du champ du candidat. Il n’y a aucun expert de champ INDÉPENDANT amené à se prononcer sur le dossier de promotion. Le processus ne prévoit aucun appel. Comptez-vous perpétuer cette pratique qui nous a coûté plusieurs départs de collègues chevronnés ? 3 – Le plan de redressement budgétaire actuel de l’UQO prévoit des compressions bien plus immédiates, et donc plus sévères, que ne le suggère le ministère – qui par ailleurs tolère que l’on n’ampute pas le fonds de fonctionnement pour la recherche et l’enseignement dans l’atteinte de l’équilibre financier. Envisagez-vous d’étaler le rattrapage budgétaire ? 4 – Comptez-vous faire la lumière sur les 700 000$ que l’UQO donne annuellement à la « corporation de l’enseignement supérieur de l’Outaouais et des Laurentides » ? 5 – Le ministère donne des fonds spécifiquement dédiés à la rétention des spécialistes du domaine du génie et de la gestion. Ces fonds n’ont pas été utilisés pour empêcher le départ de plusieurs collègues, rendant stériles nos efforts de recrutement. Avez-vous l’intention de poursuivre dans cette voie ? M. Christian Calmès, Département des sciences administratives |
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QUESTION #3 :
M. Daniel Pelletier, Département des sciences administratives |
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QUESTION #2 : Selon moi, l’UQO a été très mal gérée durant ces 15 dernières années pour de raisons multiples – seulement trois sont mentionnés ici comme des exemples: 1. Introduction par le VRER d’un système de gestion totalitaire dans lequel seulement une personne décide de tout, incluant tous les détailles même ces les plus triviales, pendant que toutes les instances collectives sont manipulées et jouent un rôle d’une décoration théâtrale. Par exemple, ce style a pratiquement éliminé toutes les instances décisionnels entré un directeur du département et le VRER, ou chaque question pas typique adressée par le directeur au doyen se termine avec une réponse standard: donne-moi 2 ou 3 jours, il faut que je parle avec Denis. 2. Introduction par le VRER d’un système de micro-gestion totale, au lieu d’avoir une approche ou une vision stratégique, ou le VRER se sent autorisé à intervenir dans toutes les activités de l’université dans tous détailles les plus moindres possibles, incluant, juste par exemple, les modifications des mots et des phrases dans les descriptions de cours, ou une contrôle individuel de dépenses de recherche de professeurs sélectionnés. 3. Le VRER fourni support seulement aux propositions de développement inventés par le VRER, pendent que toutes les autres initiatives proposés par les professeurs sont soit torpillés avant qu’ils puissent avancer plus loin, ou sont méthodiquement détruites de façon prémédité, comme par exemple les excellents programmes de Maîtrise en anglais, qui étaient parmi les meilleurs au Canada. Ceci concerne aussi l’appui à la recherche, ou seulement les axes préfères par le VRER sont soutenus, au détriment des autres, même celles les plus profitantes pour l’université. Ma question, pour les deux candidats, est la suivante: est-ce vous allez continuer ce style de gestion, ou peut-être, après votre propre analyse de situation, vous allez proposer certains modifications de cette politique? M. Wojtek Bock, Département d’informatique et d’ingénierie |
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QUESTION #1 :
Q. : il y a dix ans, la création et l’ouverture du Centre de recherche en technologies langagières étaient à l’ordre du jour de toute les discussions optimistes sur l’avenir de notre université. Aujourd’hui, cette entité n’existe pour ainsi dire plus ou n’a plus qu’un nom et un bureau. Comment estimez-vous cette perte? Quelles seraient les mesures à envisager pour que le CRTL se reconstitue et soit un vrai centre de recherche, ce qu’il n’a jamais été? Mme Louise Brunette, Département d’études langagières |
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Réponse de M. Benoît Pelletier : Voir réponse au haut de la page. |
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